mercredi, 11 juin 2014
Index nominum, : la lettre B
En huit ans d'existence, AlmaSoror a égrené de nombreux noms propres dans ses pages electro-poussiéreuses. Le chantier de l'index est entamé, mais bien loin d'être achevé. C'est donc une lettre B en construction que nous vous livrons ici et qui permettra à ceux qui viennent depuis longtemps de retrouver, peut-être, de vieux articles qu'ils avaient oubliés.
B
Babx
Il est cité (sans que son nom soit mentionné) dans Deuil d'une illusion
Jean-Sébastien Bach
Il est mentionné dans Auto(?)censure
Gaston Bachelard
Il est cité dans Sanctuaire
Normand Baillargeon
Il est cité dans Québec : l'accent d'une pensée
Honoré de Balzac
Il est mentionné dans Auto(?)censure
Arturo Bandini
Il est mentionné dans Mémoires de nos lectures
Alexina (Herculine Abel) Barbin
Alexina est mentionné(e) dans Vigny aux temps électros
Barynsflook
Il est l'auteur de Dangereuse beauté
Il est l'auteur de L'incompréhension notoire de l'homme
Charles Baudelaire
Il est mentionné dans Auto(?)censure
Il est mentionné dans Au confessionnal du cœur
Béja
Il est mentionné dans La musique de Nadège
Il est mentionné dans Moineville : la ville des écrivains
Il est mentionné dans Le sexe des anges
Ota Benga
Il est mentionné dans Ota Benga
Jacques Benoist-Méchin
Il est cité dans Le désillusionné
Il est mentionné et cité dans La fabuleuse plume de Jacques Benoist-Méchin
Il est cité et mentionné dans Le style immense et plein de pensée de Jacques Benoist-Méchin
Il est mentionné et cité dans Trois esthètes du XX°siècle : Rolland, Benoist-Méchin, Vaneigem
Il est cité dans Épuration.
Il est cité dans Fragment d'un printemps arabe
Il est cité dans Invasion de l'Europe - Année 700
Cyrano de Bergerac (personnage)
Il est mentionné dans Militants radicaux des deux extrémités du centre
Cyrano de Bergerac (auteur)
Ingmar Bergman
Il est cité en exergue d'Alcool, liberté, littérature
Il est cité dans Dialogues du septième sceau
Il est cité en exergue d'Intemporalité
Claude Bernard
Il est mentionné dans La faculté de médecine au XIX°siècle
Paul Bert
Il est cité dans Mélange de paternités
Aloysius Bertrand
Il est mentionné dans Au confessionnal du cœur
Pierre Bez(h)oukov
Il est cité dans Où il y a jugement, il y a injustice
Patrick Biau
Il est cité dans Paysage
Il est cité dans Soleil noir foncé
Black Agnès
Les deux noires Agnès sont mentionnées dans Black Agnès
William Blake
Il est mentionné dans Auto(?)censure
Marc Bloch
Il est cité dans La bibliothèque éparpillée : une histoire symbolique du moyen âge
Enid Blyton
Elle est mentionnée et citée dans Auto(?)censure
Jules Boissière (Voir à Khou Mi)
Laurence Bordenave
Elle est l'auteur de Eau de Coco
Elle est citée dans Palette
Elle est l'auteur de A tâtons N°2
Elle est citée dans La duplication de Mari
Elle est mentionnée dans Passage de Baude Fastoul (extrait des 29 et 30 mai)
Elle est citée dans Auto(?)censure
Saint Jean Bosco
Il est mentionné dans Ecclesia
Jean Bouchenoire
Il est dédicataire de Ignis Fatuus
Il est cité dans Le flot urbain
Il est cité dans La trace de l'archange
Il est cité dans Le soldat inconnu
Alain Bouissière
Il est mentionné dans Quatuor d'un monde en chantier
Nicolas Bourbaki
Il est mentionné dans Nécrologie de Nicolas Bourbaki (1968)
Anouar Brahem
Il est mentionné dans La vie tranquille de Dylan-Sébastien M-T
Tieri Briet
Il est cité dans Capitaine Corbeau Noir
Il est mentionné dans Te revoilà Tieri !
Il est mentionné dans La naissance des ours
Il est mentionné dans Réponse à une question de Tieri Briet
Il est mentionné dans Beauté des affiches des deux bouts de la politique
Il est mentionné dans La carte du Tendre
Il est mentionné dans Les commentaires de Tieri sur AlmaSoror
Il est cité dans Orso dort encore
Il est cité dans Malgré l'hiver des sentiments
Il est mentionné dans A quoi ressemblent tes amoureux ?
Il est mentionné dans Petite brouette de survie, album de route et de mer
Il est cité dans Sens et Mystique des Sens : épisode 9
Il est le photographe de Qui a peur des hamacs ?
Brunehaut
Elle est mentionnée dans Brunehaut, la perdante
Hanno Buddenbrook
Il est l'auteur d'Amour d'un homme pour son petit garçon
Luis Buñuel
Il est cité dans l’Éloge de la Mémoire
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samedi, 05 juin 2010
Dangereuse beauté
poule rousse par Sara
Tu vois que le soleil a cessé de briller
Et que je ne suis pas prêt de l’oublier
Dangereuse beauté
De ton étoile j’entends le râle des humains apeurés
Et alors que tous s’effondrent dans leurs pensées
Alors que tous s’efforcent d’oublier leur passé
Toi tu les regardes et recrées cette image lacérée
Dont tous tentent de se débarrasser
De leur âme a jamais offusquée par ta magie d’obscurité.
Que cherches-tu, pourquoi me prendre a tes cotés
Que puis je faire devant ta majesté
L’horreur est ta beauté
Tu me dégoûte je t’aime j’aime les entendre crier
Toutes les senteurs du monde sont à jamais exorcisées
Regarde-les s’entretuer, ils n’arrivent plus à pleurer
Par ton toucher ils sont glacés.
Ce spectacle terrible, long et majestueux
Que nous regardons tous deux du haut des cieux
Merci, merci ignoble amour
D’avoir plongé ces peuples dans la damnation
Au point qu’instinctivement libres comme des pions
Ils mènent doucement leur lente éradication.
Merci profondément toi qui n’as pas de nom
Garde-moi près de toi quelle belle illustration
Nous les regarderons jusqu'à la fin des temps
Lutter et s’affirmer, crétinisme patent.
Leur naïveté palpable sera distraction
Et leur aveuglement sera notre passion
Et puis nous attendrons dans la délectation
La fin de l’age des hommes, d’une ère la scission.
S.Barynsflook
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mardi, 25 mai 2010
DE L INCOMPREHENSION NOTOIRE DE L'HOMME
DE L INCOMPREHENSION NOTOIRE DE L'HOMME QUANT A L'EVOLUTION DE LA HIERARCHIE DES ESPRITS DU MONDE
Par S.Barynsflook
Pas de questions sur l'évolution de tout un chacun, l'histoire des peuples, l'histoire des communautés, l'histoire des individus... Toutes les erreurs notables sont déjà notées quelque part. Et pourtant ils s'obstinent, ça les excite de revivre ces passes palpitantes de l'histoire, de la vie, de l'histoire de la vie. Incalculables vertus causant d'incalculables torts, indénombrables vices pour le plaisir de tous. L'arbre se courbe devant celui qui voudra bien chercher à lui faire courber l'échine, et bien peu malins mais nombreux ceux qui en sont capables.
Accalmie des bons jours, dangereuses bourrasques de ceux pendant lesquels tu règnes... Du sentir au toucher, le dictat de toujours, tu t'es toujours trompé, rien jamais ne te perdra et pourtant tu as déjà perdu.
J'ai créé l'armée du désespoir afin de te détrôner immonde parasite du monde des gentils. Seuls les grands ont pu observer la vérité, car cette dernière ne se sait jamais, elle s'observe... Tu aurais du comprendre, tu aurais du m'entendre. Tu verras la lumière quand tes fautes expiées tu auras renoncé à rejoindre ce gué. Le gué de l'astre mort le gué du mirador noir à cent lieues des humains, moi je t y attendrai, et tu pourras crier, forcer ou attaquer mais le soleil jamais ne te laissera passer. Ainsi, tu vois, sans même lever d'armée, sans trop de vies renier, sans les faire soupirer, j'ai ressaisi ma chance d'être de ces grands esprits, qui, dans l'histoire des Mondes ont su harmoniser les émotions, les vies, celles la même que tu t'évertuais à annihiler, aigri par la longueur des ères.
Barynsflook
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dimanche, 08 février 2009
Dangereuse beauté
Par S.Barynsflook
(phot Isabelle Ferrier pour VillaBar)
Dangereuse beauté
Tu vois que le soleil a cessé de briller
Et que je ne suis pas prêt de l’oublier
Dangereuse beauté
De ton étoile j’entends le râle des humains apeurés
Et alors que tous s’effondrent dans leurs pensées
Alors que tous s’efforcent d’oublier leur passé
Toi tu les regardes et recrées cette image lacérée
Dont tous tentent de se débarrasser
De leur âme a jamais offusquée par ta magie d’obscurité.
Que cherches-tu, pourquoi me prendre a tes cotés
Que puis je faire devant ta majesté
L’horreur est ta beauté
Tu me dégoûte je t’aime j’aime les entendre crier
Toutes les senteurs du monde sont à jamais exorcisées
Regarde-les s’entretuer, ils n’arrivent plus à pleurer
Par ton toucher ils sont glacés.
Ce spectacle terrible, long et majestueux
Que nous regardons tous deux du haut des cieux
Merci, merci ignoble amour
D’avoir plongé ces peuples dans la damnation
Au point qu’instinctivement libres comme des pions
Ils mènent doucement leur lente éradication.
Merci profondément toi qui n’as pas de nom
Garde-moi près de toi quelle belle illustration
Nous les regarderons jusqu'à la fin des temps
Lutter et s’affirmer, crétinisme patent.
Leur naïveté palpable sera distraction
Et leur aveuglement sera notre passion
Et puis nous attendrons dans la délectation
La fin de l’age des hommes, d’une ère la scission.
S.Barynsflook
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lundi, 22 décembre 2008
DE L INCOMPREHENSION NOTOIRE DE L'HOMME
DE L INCOMPREHENSION NOTOIRE DE L'HOMME QUANT A L'EVOLUTION DE LA HIERARCHIE DES ESPRITS DU MONDE
par Barynsflook
Pas de questions sur l'évolution de tout un chacun, l'histoire des peuples, l'histoire des communautés, l'histoire des individus... Toutes les erreurs notables sont déjà notées quelque part. Et pourtant ils s'obstinent, ça les excite de revivre ces passes palpitantes de l'histoire, de la vie, de l'histoire de la vie. Incalculables vertus causant d'incalculables torts, indénombrables vices pour le plaisir de tous. L'arbre se courbe devant celui qui voudra bien chercher à lui faire courber l'échine, et bien peu malins mais nombreux ceux qui en sont capables.
Accalmie des bons jours, dangereuses bourrasques de ceux pendant lesquels tu règnes... Du sentir au toucher, le dictat de toujours, tu t'es toujours trompé, rien jamais ne te perdra et pourtant tu as déjà perdu.
J'ai créé l'armée du désespoir afin de te détrôner immonde parasite du monde des gentils. Seuls les grands ont pu observer la vérité, car cette dernière ne se sait jamais, elle s'observe... Tu aurais du comprendre, tu aurais du m'entendre. Tu verras la lumière quand tes fautes expiées tu auras renoncé à rejoindre ce gué. Le gué de l'astre mort le gué du mirador noir à cent lieues des humains, moi je t y attendrai, et tu pourras crier, forcer ou attaquer mais le soleil jamais ne te laissera passer. Ainsi, tu vois, sans même lever d'armée, sans trop de vies renier, sans les faire soupirer, j'ai ressaisi ma chance d'être de ces grands esprits, qui, dans l'histoire des Mondes ont su harmoniser les émotions, les vies, celles la même que tu t'évertuais à annihiler, aigri par la longueur des ères.
Barynsflook
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