mercredi, 01 mai 2013
Te revoilà, Tieri !
Mon cher Tieri,
Ta zone m'ozone.
C'est un vrai soulagement de retrouver ta prose fracassante, j'avais passé tant de temps à hanter Où sont les enfants ? et Histoires d'une passion. Ta webdisparition me désolait. Heureusement qu'il y a eu votre visite et ce dîner au coin d'un feu après Effraction, alors qu'Orso barbotait encore dans le ventre de Noémie. Heureusement qu'il y a eu cette nuit de feu où je me sentais si proche d'Arles en arpentant Insomniapolis. Heureusement qu'il y a eu quelques lettres et ma visite à l'ourson.
Dosta le silence !
Si petite zone, si vaste déchirure qui tire vers la délivrance. Frasques, poèmes, murs et cris gravés. Fresque d'une dissidence multiforme. Flip photolittéraire. Incendie orange, cendres martiennes, braises de l'enfer, ça recommence ? Ah ah ah ! Sombre frère en littérature ! Joie d'une retrouvaille, en attendant un passage parisien de votre petite caravane.
Edith de CL qui t'embrasse
Tieri sur AlmaSoror :
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Commentaires
Arthur Rimbaud
Au matin, j'avais le regard si pétillant et la contenance si vivante que ce que je n'ai pas rencontrés m'ont vu quand même...
Écrit par : Mounir & Jean | vendredi, 03 mai 2013
Ou bien l'entraîner par la main en lui montrant un peu plus loin une direction à travers le dédale ? Je ne sais pas. Je me demande.
Salutations.
Écrit par : Tieri | lundi, 06 mai 2013
Impossible de répondre.
Quelques uns, qui connaissent AlmaSoror, on tenté des réponses, du type "il y a de tout. Littérature, extraits, même des maths..."
Et puis Anthony a dit : "ça parle du réel et de l'irréel". Eh bien, j'ai senti qu'il approchait de la vérité.
Alors je vais réfléchir d'une nouvelle façon au moyen de guider, comme tu dis, l'arpenteur improvisé dans ce dédale que moi-même je ne maîtrise pas.
Écrit par : Edith | lundi, 06 mai 2013
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