mercredi, 30 juin 2010
Lac de nuit
Lac de nuit, sur ta rive herbeuse je dansais
Loin des villes lumière où tout s'éberluait
C'était l'été naissant, mon père était parti
Et la voix des amants m'ensorcelait l'esprit
Entre deux crépuscules il fallait que j'ordonne
Aux bateaux condamnés dans les Sables d'Olonne
De naviguer encore et toujours sur le flot
De l'enfance oubliée où gisent les héros.
Sur twitter, le mardi, l'on peut écrire des alexandrins. Ensuite, on écrit #tat et ça rejoint le grand jardin twitterien des alexandrins du mardi. Il y en a dans beaucoup de langues, mais le français, n'est-ce pas la langue de l'alexandrin ?
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