Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 01 mars 2012

Miroirs

Spiegel im Spiegel - Miroir dans le miroir - est une berceuse du musicien estonien Arvo Pärt.

Elle a inspiré de belles compositions qu'on trouve en flânant sur youtube, après le déjeuner, quand il n'y a rien à faire.

J'en présente quelques unes ici, en remerciant les inconnus qui les ont créées et partagées sur la grande Toile virtuelle qui unit nos solitudes.

Si vous en avez le temps, si vous voulez bien prendre le temps d'une longue promenade en musique et en images, voilà quelques versions à regarder et écouter, l'une après l'autre. Qui sait où partira votre esprit ? Qui sait quelle aventure naîtra de cette ballade au fond de vos labyrinthes intérieures ?

Le quadrant de Johari dit que la personnalité de chacun d'entre nous peut se "diviser" en quatre : une partie que je suis la seule à connaître et que les autres ignorent. Une partie que moi et les autres nous connaissons. Une partie que les autres connaissent mais que j'ignore. Et une partie que ni moi ni les autres ne soupçonnons. C'est à celle-ci que Spiegel im Spiegel s'adresse, bien sûr. Et c'est celle-ci qui peut surgir au détour d'un silence, au bord d'un instant.

 

Le couple et l'abîme

 

Pour Lhasa de Sela

Deux hommes et des oiseaux

 

AlmaSoror avait déjà mentionné la berceuse lors de l'annonce de la naissance d'un enfant nommé Orso, au moment où s'ouvrait 2012.

 

Addendum du 6 mars.

Emma du Songe Italien nous explique dans un commentaire sous ce billet que deux grands cinéastes ont joué sur les Miroirs d'Arvo Pärt. Voici donc Andreï Tarkovski (1975) :

Sur le fameux site du cinéclub de Caen, on trouve une analyse de ce film.

 

Et voilà Gus Van Sant (2002) :

vendredi, 09 juillet 2010

Les affiches qui me faisaient rêver à 15 ans

cria cuervos mère et fille.jpg
Cria Cuervos, de Carlos Saura (1975)
Bagdad Café, de Percy Adlon (1987)
Un ange à ma table, de Jane Campion (1990)
My Own Private Idaho, de Gus Van Sant (1991)
Arizona Dream, d'Emir Kusturika (1992)
Rouge, de Krzysztof Kieslowski (1994)
Dans la cour des grands (1995)

Peu importe le film, c'était l'affiche qui ouvrait toutes les portes du rêve.
Avant de tirer un trait momentané sur le cinéma, un trait qui ressemble à un requiem.
Requiem_for_a_dream.jpg
Mais les rêves ne sont jamais vraiment morts. Ils sont simplement dans le coma. Quelquefois ils ressuscitent :

Cria Cuervos, de Carlos Saura. 1975.

CriaCuervos-3.jpg
Cria cuervos 2.jpg

et le disque de la (belle chanson) porqué te vas :

cria cuervos disque.jpg

My own private Idaho, de Gus Van Sant, 1991

my-own-private-idaho.jpg
my_own_private_idaho.jpg
own P Idaho.jpg

An Angel at my Table, de Jane Campion, 1990

an angel at my table.jpg
AN ANGEL AT MY TABLE2.jpg
an-angel-at-my-table1.jpg
un_ange_a_ma_table.jpg
an-angel-at-my-table-gallery-1-552x402.jpg
Bagdad Café, de Percy Adlon, 1987
BAGDAD CAFE.jpg
bagdad coffee.jpg
Rouge, de Krzysztof Kieślowski, 1994
Rouge.jpg
rouge2.jpg
Dans la cour des grands, de Florence Strauss, 1995
cinema_dans_la_cour_des_grands_affiche.jpg
Arizona dream, d'Emir Kusturica, 1992
Arizona D.jpg
arizonadream1.jpg
Et il y en avait quelques autres...
Edith