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mardi, 17 juillet 2018

Desastre des débats impossibles

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(Auparavant sur AlmaSoror :

Cas de consciences et conscience des cas

Une marche humaine

Le mariage et la moraline)

Plus de 90% d'un certain genre de personnes sont supprimées avant leur naissance alors qu'elles sont en pleine forme. Aussi ce n'est peut-être pas idéal de qualifier ces avortements de "thérapeutiques", puisque ni la vie de l'enfant ni celle de la mère ne sont en danger. Juste une paire de chromosomes supplémentaire.

J'ai dit ça à table mais on m'a dit que j'étais fasciste parce que "ce discours est celui de gens d'extrême-droite".

"La femme est libre de faire ce qu'elle veut de son corps", m'a-t-on encore dit.

Je me pose des questions, sans fanatisme ni certitude. 

Le corps d'un enfant viable, âgé de 5 mois déjà dans un ventre, n'est-il qu'un morceau du corps de celle qui le porte ?

Je ne suis pas entrain de dire qu'un avortement est un crime, ni de m'opposer radicalement au droit à l'avortement.

Je trouve pénible de n'entendre que deux points de vue tranchés et cyniques sur la question.

- Celui qui traite de criminelles des femmes qui, tombées enceintes dans une situation pénible et sans courage ni moyens d'assumer le bébé, décident d'interrompre la grossesses dès que celle-ci est connue.

- Celui qui trouve fascistes tous ceux qui n'apprécient pas qu'on dispose de la vie vulnérable et merveilleuse des bébés in utero jusqu'aux dernières extrémités de la grossesse sans avoir aucunement à justifier l'acte.

Lorsque on criminalise d'office la pensée de l'adversaire, le débat devient impossible et le désastre augmente.

 

Sur AlmaSoror :

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