mardi, 03 mars 2015
fascisme, non sans beauté...
Fascisme, non sans beauté, de l'architecture des grands ensembles. Le spectre esthétique propose toutes les options de la laideur, mais parfois, l'on y décèle quelque chose qui apaise le regard, des lignes, des blocs, un mode de vie qui nous sauverait de toute angoisse. A moins que cela ne soit qu'une illusion, l'illusion de quelqu'un qui passe en rêvant. Quelqu'un qui ne sait plus quoi faire de ses journées : solitude et chômage peuplent les heures. Tant qu'il y aura des parpaings empilés, se posera comme un dépôt, au fond des âmes vides, la question fondamentale de l'existence de l'individu.
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