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mercredi, 12 juin 2013

Traverser vers l'autre rive (faire confiance au sentier).

1977.Pont-Hus.PaulDansMarais310.jpg

Merci à Sara et Tieri.

Commentaires

Traverser à gué c'est déjà l'aventure. Et comme un idiot, j'ai oublié qu'hier on était le 12 juin.

[Gué, nom masculin. Endroit d'une rivière où l'eau est assez basse pour qu'on puisse la traverser en marchant.]

Écrit par : Tieri | jeudi, 13 juin 2013

Théodose faisait chercher des gués et faire des ponts avec une diligence incroyable , FLÉCH. , Hist. de Théodose, III, 94

Écrit par : Si petite zone | jeudi, 13 juin 2013

Etymologie :
Norm. vé ou vey, nom des estuaires ; wallon, wé ; provenç. ga, gah, gua ; anc. catal. guau ; catal. mod. gual ; espagn. vado ; portug. vão ; ital. guado ; du lat. vadum, avec influence du germanique wat, gué ; vadum ( a avec un accent bref) se rattache à vadere ( a avec un accent long) comme ducem ( u avec un accent bref) à ducere ( u avec un accent long) ; c'est le sanscrit gadha ( 1er a avec un accent long), de ga ( a avec un accent long), aller.

Écrit par : L'arpenteur de gués | jeudi, 13 juin 2013

Merci pour ces précisions qui ouvrent des portes, la porte des langues, les langues-pont.
Un idiot ? Non, j'ai écouté ta voix sur mon répondeur au milieu de la nuit et je me sens beaucoup mieux. Beau message charmant dont je te remercie en attendant de dialoguer de voix à voix. Toi tu entends sûrement la voix des arbres quelque fois ?

Écrit par : Edith | vendredi, 14 juin 2013

La nuit je dors dans une voiture en contrebas des quais, dans l'ombre des platanes. Le jour je cherche encore des mots pour raconter le paysage du fleuve.

Écrit par : L'arpenteur de gués | samedi, 15 juin 2013

Arpenteur, à quoi ressembles tes aubes dans cette voiture ? En as-tu photographié une ?

Des mots qui évoquent un paysage fluvial, si tu les trouves, je les veux bien en partage. Il faudrait écrire le roman du fleuve et de ses arpenteurs, peut-être sur un blog à quatre mains.

Connais-tu : Souffrance et littérature dans l'extrême oppression : http://www.leslettreseuropeennes.eu/souffrance-et-litterature-dans-lextreme-oppression

Écrit par : Edith | samedi, 15 juin 2013

Edith, comment ne pas photographier les aubes ?
Même si ça donne à la fin un paquet de clichés romantiques avec des arbres à contre-jour, des images qui n'ont plus rien à voir avec les journées qu'on pourra vivre par la suite, dans les parages des boues et des embâcles, ce n'est pas grave, je suis sûr que tu aimerais ces photos.

Et pour un blog à quatre mains, c'est une idée qui fait envie. A condition qu'on s'aventure sans aucune règle, et sans savoir. Juste à partir des fleuves qui hantent nos territoires d'errance.

C'est dimanche, et tes dimanches sont plus libres que les miens.

Écrit par : La leçon des grands fleuves | dimanche, 16 juin 2013

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