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lundi, 12 novembre 2012

Le journal de Léonard

Léonard de Vinci

"A l'âge de trois ans, l'homme atteint la moitié de sa taille (d'adulte).
A dimensions égales, une femme pèsera moins qu'un homme.
Dans l'eau, une femme morte a la face tournée vers le fond, un homme en sens contraire".

Leonard de Vinci

Commentaires

le Renaissance rationalisait tout, mettait tout en équation.
C'est insolite cette impression de puérilité dans la profondeur de la réflexion.

Écrit par : Henri-Pierre | mardi, 13 novembre 2012

Mais Léonard n'a jamais laissé les chiffres recouvrir ses rêves. Et le regard de l'ange est empli de cette étrange lueur que le peintre n'a pu observer nulle part ailleurs que dans un monde de rêve.

Écrit par : Hélène Lammermoor | mercredi, 14 novembre 2012

Les carnets de Leonard de Vinci sont insolites, à presque toutes les pages. On le lit, on s'étonne, on admire, on prend peur, on le croit fou et surgit soudain cette phrase de Nietzsche : "Il faut porter encore en soi un chaos pour pouvoir mettre au monde une étoile dansante".

Écrit par : Edith | mercredi, 14 novembre 2012

Je faisais, Hélène, référence au texte mis en exergue par Edith et qui est si caractéristique de cette recherche du nombre parfait, de la perspective réglée et des proportions théorisées de la Renaissance et à laquelle souscrivait Léonard, homme de son temps.
Ce qui n'empêche nullement chaque peintre, sculpteur ou architecte d'appliquer les lois secrètes de son propre tempérament. Comme le regard de l'Ange...

Écrit par : Henri-Pierre | jeudi, 15 novembre 2012

d'ailleurs, à cette époque, raison et rêve, science et conscience, astronomie et astrologie ne s'opposaient pas encore dans le cœur des grandes personnes !

Écrit par : Edith | jeudi, 15 novembre 2012

Edith, vous dites en toute claire concision ce à quoi j'essayais maladroitement d'en venir

Écrit par : Henri-Pierre | jeudi, 15 novembre 2012

Pas du tout maladroitement !

Écrit par : Edith qui écoute Neil Young ( Out on the weekend) | jeudi, 15 novembre 2012

Immense Leonard, tu nous fascines toujours autant...

Écrit par : Hélène Lammermoor | vendredi, 16 novembre 2012

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