vendredi, 25 septembre 2009
An Angel Runs
Phot Sara
An angel runs
Thru the sudden light
Thru the room
A ghost precedes us
A shadow follows us
And each time we stop
We fall
James Douglas Morrison
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Commentaires
Tu sais, quelquefois il faut juste oublier, tout oublier. On ne peut pas conserver tant de rancoeurs, de douleurs et de rumeurs en soi, il faut les laisser partir et accepter de devenir plus léger. Est-ce qu'il y a un Dieu qui t'a dit de tout retenir en toi ? Non, ou plutôt, si, et ce Dieu, c'est toi. Sans doute ton orgueil. C'est lui qui t'a éloigné d'E et de H et même de M. C'est ton orgueil qui te ferme les portes. La porte des sens, la porte de la danse, la porte de l'enfance, toutes ces portes se sont fermées à cause de cette fierté qui te dépasse, à laquelle tu t'es identifiée. Mais si tu la laissais s'en aller, peut-être que toutes tes actions et tous tes textes en seraient allégées, plus libres et plus doux.
Écrit par : Françoise | samedi, 26 septembre 2009
& I can't forget, I can't forget, I can't forget, I can't forget. I can't forget but I don't remember what.
Leonard Cohen
Écrit par : édith | samedi, 26 septembre 2009
Bonne réponse, que cette citation d'une belle chanson canadienne du siècle passé. Quelle moralisation, plus haut ! Il faut, il faut, il faut. Mais qui a dit qu'il fallait ? De quel orgueil s'agit-il ? De l'orgueil de la jument sauvage qui chevauche les dunes de sables ? Laissons-le chanter, cet orgueil d'être libre.
D'ailleurs, à qui la commentatrice parle-t-elle ? A Jim Morrison ? A l'ange qui cours dans la lumière subite et dont parle le poème reproduit ? A la marionnettiste d'AlmaSoror ?
Ou bien, à ses propres peurs ?
Écrit par : David Steene | dimanche, 27 septembre 2009
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