mercredi, 17 mars 2021
La circulation
Il y a un an, nous perdions notre liberté de circulation, cette insouciance du déplacement qui nous était habituelle, naturelle comme la respiration.
Je parie que nous la retrouverons un jour, malgré deux grandes ombres : la dictature sanitaire et antiterroriste avec ses bras de biotechnosurveillances, l'amour des humains pour le joug avec l’œil de la morale qui le maintient.
Quand je quitterai ce monde, ce soir ou dans quarante ans, je sais qu'il sera plus agréable, plus esthétique et plus calme que ces derniers temps.
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