Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 12 août 2019

...« au vertige d’une désaxation »...

« Kamalalam est un personnage sans précédent.

(…)

« Ce que j’aimerais découvrir, à travers lui, au terme de tant de « grandes épreuves de l’esprit », c’est une espèce d’ultime domicile pour une pensée qui a beaucoup erré : ce que j’appelle la Maison du Destin, un champ clos pour mon amour de la nuit.

 (...)  « Mais de tous les visages que j'ai donné à mon malaise, c’est le plus beau, le plus radieux, le plus inquiétant aussi. Je savais qu’il serait porteur des dernières raisons que j’avais d’utiliser ma raison. »

Marcel Moreau, IN Kamalalam, 1982

Écrire un commentaire

NB : Les commentaires de ce blog sont modérés.