lundi, 12 août 2019
...« au vertige d’une désaxation »...
« Kamalalam est un personnage sans précédent.
(…)
« Ce que j’aimerais découvrir, à travers lui, au terme de tant de « grandes épreuves de l’esprit », c’est une espèce d’ultime domicile pour une pensée qui a beaucoup erré : ce que j’appelle la Maison du Destin, un champ clos pour mon amour de la nuit.
(...) « Mais de tous les visages que j'ai donné à mon malaise, c’est le plus beau, le plus radieux, le plus inquiétant aussi. Je savais qu’il serait porteur des dernières raisons que j’avais d’utiliser ma raison. »
Marcel Moreau, IN Kamalalam, 1982
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