mercredi, 01 avril 2015
Jour sans substance
Albertine Sarrazin a encore ses lecteurs qui lisent L'Astragale ou La cavale en écoutant du son binaural à côté d'une fenêtre par laquelle on voit passer des voitures. Ce n'est pas une certitude, non, juste une intuition.
Il ne faut pas avoir peur de se rendre où nos intuitions nous portent. Ou bien il faut en avoir peur et suivre quand même le chemin entrevu.
Ou bien simplement faire une promenade en oubliant tout ce qui peut nuire gravement à la santé artistique.
Ce peut être Albertine, ou une autre, qui nous sauve de l'ivresse blanche par un jour sans substance comme celui-ci.
Other voices, other rooms :
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