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mardi, 28 septembre 2021

Un bel article de Lionel Tassan

""Il y a trois acteurs dans la tragédie du loup: les éleveurs, les écologistes et les chasseurs. Chacun a sa solution. Ce résumé me paraît parfait. Plus on s'en mêle, pire c'est. Il y a fort à parier que ce serait moins pire pour tout le monde (éleveurs ET loups) si on laissait tout ça se débrouiller. En résumé, le loup est protégé et donc, devrait être interdit de tir mais on pourrait laisser aux bergers le droit de défendre leur troupeau en cas d'attaque. Le loup est un animal intelligent : ce serait beaucoup plus productif de lui montrer qu'il ne doit pas s'approcher de tel endroit plutôt que d'octroyer des quotas de tirs, sans connaître le loup qu'on va tirer ni ses intentions. Ce qui se passe actuellement est la pire des solutions : on tire des loups à l'aveugle et on affaiblit les meutes. De ce fait, des loups seuls ou des meutes diminuées n'ont d'autres choix que de se rabattre sur les proies faciles que sont les moutons. Cet amateurisme administratif se retrouve dans bien d'autres domaines où, soit pour acheter un minimum de paix sociale, soit par manque de moyens, soit par manque de connaissance des décideurs (ou tout ça en même temps), on fait les choix des plus mauvais"."

Lire la suite : DES NOUVELLES DU LOUP

jeudi, 25 juin 2009

Ô Sanglier, Mystérieux résistant mort au combat

Hommage
 

Cet hommage à nos étoiles des temps proches et lointains veut saluer des êtres dont le souffle, la vision,
la parole nous aident à vivre et à penser.

 

Mystérieux résistant mort au combat

 

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Saint-Amand-Les-Eaux
 

Dimanche 18 janvier 2004, à 16 heures : un sanglier pénètre par inadvertance dans l'hôpital situé en centre-ville.

Il défonce une porte vitrée et fait quelques dégâts dans le jardin arboré de l'hôpital.

Les pompiers appelés à la rescousse tentent de neutraliser le sanglier à l'aide de seringues hypodermiques - en vain : selon les spécialistes, son épaisse enveloppe de graisse hivernale le protège trop bien.
 

Dans la soirée, le député-maire communiste de la ville, Alain Bocquet, décide d'en finir avec l'animal. Il appelle les chasseurs - en vain : malgré une caméra thermique, le sanglier n'a jamais pu être repéré.
 

Minuit : la chasse se transforme en battue avec quatre chiens et une vingtaine de rabatteurs. En vain.
 

2 heures du matin : la traque prend fin. On estime que la bête a regagné la forêt.
 

Lundi 19 janvier 2004 au matin : il faut se rendre à l'évidence, le sanglier est toujours là.
 

10 heures : Un chasseur l'abat.
 

 

(source : yahoo actualités du lundi 19 janvier 2004, 17h39)
 

 

« De profundis clamavi ad te, Domine ;
Domine, exaudi vocem meam. Fiant aures tuae intendentes in vocem orationis meae.
Si iniquitates observaveris, Domine ; Domine, quis sustinebit ? Quia apud te propitiatio est ; et proper nomen tuum sustinui te, Domine.
Sustinuit anima mea in verbo tuo ; speravit anima mea in Domino. A vigilia matutina usque in noctem  speret Israel in Domino.
Quia apud Dominum misericordia est, et copiosa apud eum redemptio, Et ipse rediment Israel  ab omnibus iniquitatibus eorum”.

 

 

Sara (hommage et photo)