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vendredi, 04 juillet 2014

Au matin parisien du 4 juillet 2014

forçats modernes, ouvriers du bâtiment, agelco

« Je reviens d'un petit tour de vélo et d'un café au Lino. Là, alors que nous étions seulement deux personnes à occuper le comptoir du bistrot, sonna un sifflet de gendarme.

Mais ce n'était pas cela. Il s'agissait de l'annonce du démarrage de la journée de labeur des ouvriers du chantier d'en face, qui alors sortirent de leurs Agelco directement attenant au chantier, leur café probablement déjà regretté. Ce sont les forçats d'aujourd'hui dont on ignore la vie qui s'affiche sous nos yeux ».

témoignage de Lau