Sapristi ! (samedi, 01 juillet 2017)
Toi, flagorneuse éprise d'un garçon maussade, aux yeux lugubres, au coeur pentu comme un glacis, tu fourbis tes charmes pingres, par les soirs vétustes, quand les heures tombent en ruines dans la démangeaison du temps gercé.
| Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | Imprimer |