Toi (lundi, 23 décembre 2013)
Je ne sais pas qui tu es, toi, l'un des visiteurs d'AlmaSoror, toi qui par tes clics participes à cette statistique actuelle de 450 à 700 visites par jour sur ce blog qui te ressembles peut-être.
Tu ne commentes jamais, ou presque jamais, les billets que tu lis certainement.
Tu viens ; tu reviens.
Aussi est-ce un peu pour toi que je me lève le matin.
Quand l'architecture bancale de mon moral s'effrite, quand l'édifice incertain de mon mental s'effondre, il reste toi dont la trace sur mon tableau de bord participe à la régularité des battements de mon cœur.
Sur le conseil de certains, j'ai tenté, quelque temps, d'ajouter un moyen de paiement paypal dans la colonne de gauche, mais ce bouton me gênait. Parce que j'étais contente d'avoir créé un lieu aussi gratuit, intemporel et étrange que le monde dans lequel je voudrais vivre. Aussi l'ai-je ôté.
Je pense que je t'aime. Je ne suis pas sûre que nous nous aimerions si nous nous rencontrions dans un endroit dit réel. Pourtant il faut bien que l'on s'aime pour que je t'écrive et que tu viennes visiter les terres poussiéreuses d'AlmaSoror (d'une poussière blanche et lumineuse, intangible).
En quelque sorte, je voulais te dire Merci.
Edith d'AlmaSoror
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Commentaires
Je suis arrivé il y a 5 minutes par hazard ce samedi matin dans ton monde , qui m'a l'air merveilleux .
je cherchai une démonstration du" theorème fondamental de l'analyse" et par curiosité suis allé à la page d'acceuil du site qui heberge ce document qui m'as été tres utile . Apres avoir lu le premier article , et sentant la présence d'une ame, J'ai crée le groupe de signet "interressant" pour avoir une porte vers chez toi. Le navigateur m'as alors semblé un veritable vaisseau voyageant par magie dans l'espace.
Je déroule et je trouve directement cet article qui s'adresse à moi, je me devais d'y répondre.
Merci beaucoup , moi aussi je t'aime.
Écrit par : ze | samedi, 11 janvier 2014
Ze, merci de ta visite et de ta présence ce matin dans ce rade blogal qui t'accueillera toujours. Grand bonheur de savoir que tu m'aimes aussi. Je partage avec toi le ciel très blanc et lumineux qui s'étale sous mes yeux de l'autre côté de la cour au-dessus des immeubles, et qui m'inspire des rêves et des idées.
Écrit par : AlmaSoror | samedi, 11 janvier 2014