Après la pluie le beau temps
mercredi, 30 septembre 2015
Vivre et regarder vivre, ou bien s'asseoir à côté d'une fenêtre.
En quelques heures, la situation a entièrement changé ; l'inspiration n'est pas la même. La motivation morte est ressuscitée.
Climats de mon cœur, de quoi dépendez-vous ?
Vous dépendez peut-être d'un sourire reçu, d'une promesse tenue - mais surtout à soi-même. D'un reflet dans la vitre, d'un clafoutis aux pruneaux, d'une tendinite qui s'achève.
Vous dépendez sûrement des rêves des enfants que l'on fut, que l'on fera peut-être, peut-être pas.
En quelques heures, le mal de vivre est résolu, par le miracle de la lumière. Pourtant, parfois, blessée par le soleil, c'est la pluie qui m'a ramassée à la petite cuillère.
2 commentaires
Quoi qu'il arrive, en tout lieu... Se créer une vie intense et profonde.
Respirer plus profondément que son adversaire pour en faire un ami, ou tout au moins désamorcer son intention d'attaque ? Se tenir non pas droit mais bien déroulé le long de sa colonne vertébrale. Prier et sourire au monde le plus authentiquement possible.
Les commentaires sont fermés.