lundi, 04 janvier 2010
« Il m’ont tout ôté, hors mon cœur, qui me restera toujours pour vous aimer ». Marie-Antoinette
Écrit par Note dans les catégories L'oiseau, La place, Sleipnir | Tags : marie-antoinette, courage, amour, révolution française, terreur, crimes
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Chère Édith, je me souviens qu'effectivement, un soir où tu avais bu, à l'époque horrible de la philo à Tolbiac, tu avais pris en pleurant la défense du petit Louis XVII.
Elle n'a pas changé. James Douglas Morrison, Louis XVII, les chiens. C'est tout ce qui compte pour elle, avec le Sauterne.
Il faut lire le livre de Belaïche-Daninos sur Marie-Antoinette. Absolument. http://www.priceminister.com/offer/buy/17913954/Belaiche-Daninos-Paul-Les-76-Jours-De-Marie-Antoinette-A-La-Conciergerie-T-1-Livre.html glaçante Terreur...
Il faut lire la dernière, très belle lettre de Marie-Antoinette
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4 commentaires
Chère Édith, je me souviens qu'effectivement, un soir où tu avais bu, à l'époque horrible de la philo à Tolbiac, tu avais pris en pleurant la défense du petit Louis XVII.
Elle n'a pas changé. James Douglas Morrison, Louis XVII, les chiens. C'est tout ce qui compte pour elle, avec le Sauterne.
Il faut lire le livre de Belaïche-Daninos sur Marie-Antoinette. Absolument.
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Il faut lire la dernière, très belle lettre de Marie-Antoinette
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