vendredi, 09 juillet 2010
Les affiches qui me faisaient rêver à 15 ans

Cria Cuervos, de Carlos Saura (1975) Bagdad Café, de Percy Adlon (1987) Un ange à ma table, de Jane Campion (1990) My Own Private Idaho, de Gus Van Sant (1991) Arizona Dream, d'Emir Kusturika (1992) Rouge, de Krzysztof Kieslowski (1994) Dans la cour des grands (1995) Peu importe le film, c'était l'affiche qui ouvrait toutes les portes du rêve. Avant de tirer un trait momentané sur le cinéma, un trait qui ressemble à un requiem. Mais les rêves ne sont jamais vraiment morts. Ils sont simplement dans le coma. Quelquefois ils ressuscitent : Cria...