samedi, 26 juin 2010
Ostende

Une chanson de Gribouille ... disparue dans les barbituriques et l'alcool en 1968, juste avant la gloire. Si je savais parler d'Ostende Moi, je lui donnerais ton nom Je dirais à qui veut l'entendre Que tu mérites une chanson. Ostende, tu me l'as faite si jolie Personne jamais ne m'a changé Paris. Et de mémoire de vague S'il en faut en croire les vagues Et de mémoire d'algue Si l'on veut croire les algues. Il n'y a pas eu avant D'amants plus beaux que nous Et même que Tristan Dormait à nos genoux. Si je savais parler d'Ostende Je lui en demanderais...