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N'êtes-vous pas sensible comme moi, à l'acharnement amusé avec lequel Benoît de Cornulier harcèle la syllabe, surtout lorsqu'elle est piégée dans un vers ?
Voici un extrait - le début - de sa thèse d'Etat, soutenue le 29 juin 1979 à Aix-en-Provence.
Mieux vaut avoir jeté un œil (qu'on peut reprendre ensuite, bien sûr, inutile de laisser les vers pourrir votre œil) sur les Djinns de Victor Hugo, beau poème que du reste certains mirent en musique, tels Gabriel Fauré, César Franck ou Louis Vierne.
« N’êtes-vous pas sensible comme moi, si vous avez lu attentivement...
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