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Ma patrie se réveille au matin des amours, Les jambes brisées par le cerveau ; Nos luttes sans sommeil nous ont parés d'atours Aigus comme des ciseaux
Par la vitre du train, les sapins s'émerveillent De nos cohortes d'animaux ; L'étranger s'est enfui à force de nos veilles Et nous retrouvons nos hameaux.
Il a pourri nos villes et sali nos enceintes, Les couvrant de ses oripeaux ; Sur les routes du monde, il laisse, ceintes et enceintes, Ses femmes voguer sans matelot.
A force de nous vaincre, lui-même il s'est vaincu - Et nous voilà, pauvres héros, Pleurant sur...
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Jean Bouchenoire, que nos lecteurs n'apprécient pas tous, mais qi'ils lisent souvent avec fébrilité, nous livre ses réflexions alors qu'il est plongé dans la lecture de l'écrivain franco-camerounais Mongo Béti.
Pour donner un contrepoint passionnant à son nationalisme identitaire militant, nous mettons après son article quelques extraits d'une entrevue d'Edouard Glissant à...
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Phot Europe, par L.N Lammermoor
Un billet de Jean Bouchenoire
Lire l'oeuvre de Jacques Benoist-Méchin redonne confiance dans la langue française, pleine de puissance et...
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