jeudi, 13 septembre 2012
Les amours mortes : Alix, d'air et de feu

Alix, d'air et de feu suivi d ' une Note sur l'exhibitionnisme blogal - par E de CL Je ne t'aimais pas, Alix, car l'amour est humain et nous étions angéliques. J'avais peur de tes yeux, j'avais peur de tes mains, j'avais peur de nos lendemains. J'avais peur d'un passé qui remonte comme une mer sur la côte oubliée. J'avais peur d'un avenir vide et beau, sans sel. Intriguée par le voisin qui composait sa symphonie démesurée sur Gaspard de la nuit , je contemplais trop souvent par la fenêtre sa silhouette maigre penchée sur sa harpe. Tu...