Si tu viens par ici pour te prendre une grosse claque dans la gueule c'est mort parce que ce blog bouge comme une limace, lentement et mollement, et pourtant il y a une envie de radicalité rock, voire punk quelque part dans ces pages, dans certains de ces billets, ceux peut-être composés comme une symphonie de la tristesse métallique sous un ciel bas et lourd, gris d'après la pluie. Il y a ce désir de brûler, de faire des étincelles, de frapper fort et cette sorte de pudeur bizarroïde qui ressemble à de la timidité mais qui, en fait, se rapproche de l'orgueil de l'aigle : surtout...

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