vendredi, 30 juin 2017
Dans la chambrée
( Tu disais des poèmes aux quatre saisons. J'ai pris ta suite. Il y eut le poème de l'hiver 2017 . Il y eut le poème du printemps 2017 . Voici celui de l'été 2017). Un salve regina coule dans la chambrée. Le soleil catapulte la pierre blanche. Dans les embrasures, les pigeons bâtissent des nids de brindilles. La civilisation brûle sa dernière bougie. Passe un homme au visage familier ; Sa petite dame nomme une maladie. Leurs silhouettes errent à travers les champs de gliales. La crainte étend son ombre sur le mur de leur vie. J’aurais voulu...