mercredi, 27 février 2013
Une jeunesse dunkerquoise

Extrait de la lettre de Jean-Pierre Liénard à Jacques Bertin «Il reste heureusement toujours quelques chanteurs-citoyens - bien qu'épiés par les sirènes de la renommée - suffisamment âpres pour que leur épice surnage au dessus du brouet des radios commerciales. La nostalgie, la tristesse sont parties prenantes de la beauté. Les chants les plus beaux sont-ils désespérés ou de revendication comme le clamait Léo Ferré ? » Lisible ici , cette lettre retrace l'atmosphère étudiante provinciale et studieuse des années 70, emplie de chansons, de rêveries...